"Il faudra quand même essayer de ne pas le construire" : le communisme sauvage de Marguerite Duras
Langue Français
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Modalités de diffusion de la thèse :
  • Thèse confidentielle jusqu'au 12/01/2026.
  • Thèse soumise à l'embargo de l'auteur jusqu'au 12/01/2027 (communication intranet).
 
Auteur : Willer, Clément
Date de soutenance : 12-01-2024

Directeur(s) de thèse : Werly, Patrick - Hamel, Jean-François

Établissement de soutenance : Strasbourg - Université du Québec à Montréal
Laboratoire : Configurations littéraires (Strasbourg)
École doctorale : École doctorale des Humanités (Strasbourg ; 2009-....)
 
Discipline : Litterature générale et comparée
Classification : Littérature de langues romanes. Littérature française

Mots-clés libres : Communisme sauvage, Romantisme révolutionnaire, Marguerite Duras, Georges Bataille, Maurice Blanchot
Mots-clés :
  • Communisme
  • Romantisme (littérature)
Résumé : Cette thèse propose de lire le rêve d’un « communisme sauvage » dont on trouve de nombreuses traces chez Marguerite Duras dans la lignée du romantisme révolutionnaire, qu’ont contribué à définir Michael Löwy et Robert Sayre, comme mouvement qui va à contre-courant de la modernité tout en cherchant à expérimenter un avenir encore inconnu. Ainsi s’agira-t-il à la fois de prêter attention à la singularité profonde de l’œuvre de Marguerite Duras, et de l’inscrire dans le sillage de celles et ceux qui avant elle ont également frayé leur voie à la croisée de l’espoir et du désespoir, comme Walter Benjamin ou Rosa Luxemburg, mais aussi ses amis du groupe de la rue Saint-Benoît, Georges Bataille ou Maurice Blanchot.
 
Type de contenu : Text
Format : PDF
 
Entrepôt d'origine : STAR : dépôt national des thèses électroniques françaises
Identifiant : 2024STRAC001
Type de ressource : Thèse