Mycose vaginale : état des lieux des connaissances et attitudes des étudiantes de l’Université de Strasbourg
Langue Français
Langue Français
Auteur(s) : Richert Marina
Directeur(s) : Bagot Odile, Revert Mathilde
Date de création : 30-06-2020
Résumé(s) : Introduction : La mycose vulvovaginale est causée par des levures de type Candida, un germe opportuniste se développant lorsque la flore vaginale est perturbée. Présente chez trois femmes sur quatre au cours de leur vie, elle se traite facilement par un traitement antifongique. Ainsi, pour un professionnel de santé, la mycose vulvo-vaginale est considérée comme une pathologie bénigne et fréquente. Mais qu’en est-il de la représentation des femmes ? Les objectifs de cette étude étaient de décrire l’état des connaissances des étudiantes de l’Université de Strasbourg au sujet de la MVV, ainsi que de recenser leur attitude face aux signes cliniques, c’est-à-dire comment celles-ci vont s’informer et se soigner, ou pas. Méthodologie : Cette étude épidémiologique observationnelle transversale quantitative a été réalisée grâce à un questionnaire, auquel 250 étudiantes consultant pour un motif gynécologique au Service de Santé Universitaire de Strasbourg ont répondu. Résultats : Nous avons constaté d’assez bonnes connaissances des étudiantes strasbourgeoises sur la fréquence, les causes, les facteurs favorisants, les moyens préventifs et les symptômes de mycose vulvo-vaginale. Cependant, beaucoup l’associaient à une transmission sexuelle, et la confondaient facilement avec la vaginose bactérienne ou la cystite. Pour s’informer sur la mycose vulvo-vaginale, les étudiantes strasbourgeoises avaient notamment recours à l’entourage, les professionnels de santé et internet. En cas de mycose, bien que la plupart avaient recours à un professionnel de santé, beaucoup s’auto-diagnostiquaient et achetaient leur traitement en libre-service. En cas de mycose vulvo-vaginale, elles attendaient 4,6 jours en moyenne avant d’agir. Conclusion : Les professionnels de santé se doivent de bien informer les femmes afin de briser les tabous et de leur permettre d’être actrices de leur propre santé.
Discipline : Médecine
Mots-clés libres : Mycoses, 618, Candidose vulvovaginales -- Prévention, Connaissances, attitudes et pratiques en santé
Couverture : FR
Directeur(s) : Bagot Odile, Revert Mathilde
Date de création : 30-06-2020
Résumé(s) : Introduction : La mycose vulvovaginale est causée par des levures de type Candida, un germe opportuniste se développant lorsque la flore vaginale est perturbée. Présente chez trois femmes sur quatre au cours de leur vie, elle se traite facilement par un traitement antifongique. Ainsi, pour un professionnel de santé, la mycose vulvo-vaginale est considérée comme une pathologie bénigne et fréquente. Mais qu’en est-il de la représentation des femmes ? Les objectifs de cette étude étaient de décrire l’état des connaissances des étudiantes de l’Université de Strasbourg au sujet de la MVV, ainsi que de recenser leur attitude face aux signes cliniques, c’est-à-dire comment celles-ci vont s’informer et se soigner, ou pas. Méthodologie : Cette étude épidémiologique observationnelle transversale quantitative a été réalisée grâce à un questionnaire, auquel 250 étudiantes consultant pour un motif gynécologique au Service de Santé Universitaire de Strasbourg ont répondu. Résultats : Nous avons constaté d’assez bonnes connaissances des étudiantes strasbourgeoises sur la fréquence, les causes, les facteurs favorisants, les moyens préventifs et les symptômes de mycose vulvo-vaginale. Cependant, beaucoup l’associaient à une transmission sexuelle, et la confondaient facilement avec la vaginose bactérienne ou la cystite. Pour s’informer sur la mycose vulvo-vaginale, les étudiantes strasbourgeoises avaient notamment recours à l’entourage, les professionnels de santé et internet. En cas de mycose, bien que la plupart avaient recours à un professionnel de santé, beaucoup s’auto-diagnostiquaient et achetaient leur traitement en libre-service. En cas de mycose vulvo-vaginale, elles attendaient 4,6 jours en moyenne avant d’agir. Conclusion : Les professionnels de santé se doivent de bien informer les femmes afin de briser les tabous et de leur permettre d’être actrices de leur propre santé.
Discipline : Médecine
Mots-clés libres : Mycoses, 618, Candidose vulvovaginales -- Prévention, Connaissances, attitudes et pratiques en santé
Couverture : FR
Type : Mémoire de sage-femme, Sage-femme, Memoire Unistra
Format : Document PDF
Source(s) :
Format : Document PDF
Source(s) :
- http://www.sudoc.fr/250894866
Entrepôt d'origine :
Identifiant : ecrin-ori-104641
Type de ressource : Ressource documentaire
Identifiant : ecrin-ori-104641
Type de ressource : Ressource documentaire