La rupture cubiste : un regard renouvelé sur l'organisation de l'espace dans l'architecture et l'art de la ville
Langue Français
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Auteur : Koering, Alfrd
Date de soutenance : 01-01-2009

Directeur(s) de thèse : Gerosa, Pier Giorgio

Établissement de soutenance : Université de Strasbourg
École doctorale : École doctorale Humanités (Strasbourg ; 2009-....)
 
Discipline : Histoire de l'art
Classification : Arts. Beaux-arts et arts décoratifs

Mots-clés libres : Mouvements artistiques
Mots-clés :
  • Mouvements artistiques - Thèses et écrits académiques
  • Cubisme - Thèses et écrits académiques
Résumé : Le cubisme de Braque et de Picasso rompt avec la peinture initiée par la Renaissance, qui fonde la construction de l'image sur la perspective, ce que le cubisme rejette. Il introduit dans l'art des éléments du quotidien, vernaculaires qui modifient la fonction même de l'art. Il en relève ainsi le caractère éthique et pas seulement esthétique. En cela il rejoint les préoccupations d'architectes pas uniquement soucieux des formes nouvelles. Cette forte conscience sociale est particulièrement sensible en Allemagne de 1920 à 1930. Bruno Taut, Ernst May comme Walter Gropius s'éloignent de l'esthétisme, en opposition des recherches d'architectes comme Le Corbusier. Hors des constructivistes en URSS un autre terrain d'expérience socialiste naît des cendres de l'empire austro-hongrois. Vienne est dirigée de 1920 à 1934 par les autro-marxistes, qui entreprennent une politique du logement tout à fait originale, qui a été peu analysée.
 
Type de contenu : Text
 
Entrepôt d'origine : Ressource locale
Identifiant : ecrin-ori-283965
Type de ressource : Thèse