Comparaison de deux systèmes de polissage de composite : étude de l'intégrité de l'émail marginal après polissage/thèse présentée pour le diplôme d'État de docteur en chirurgie dentaire le jeudi 1er avril 2021
Langue Français
Langue Français
Auteur(s) : Ettwiller Inès
Composante : DENTAIRE
Date de création : 30-06-2021
Résumé(s) : Les résines composites sont aujourd’hui largement plébiscitées pour la réalisation de restaurations directes. Ces dernières possèdent des propriétés mécaniques et esthétiques de plus en plus performantes, grâce, notamment, à l’évolution de la chimie de la phase résineuse mais également, grâce à l’augmentation de la teneur en charges. Les composites directs majoritairement utilisés aujourd’hui sont des composites microhybrides ou microhybrides nanochargés. Actuellement, quand on envisage une restauration en composite, le débat porte majoritairement sur le choix des matériaux et sur la technique de stratification. La finition et le polissage des composites, souvent réalisés très rapidement en fin de séance, restent les étapes les plus négligées. Si les protocoles de stratification des composites sont aujourd’hui bien codifiés, aucun consensus n’existe, à l’heure actuelle, pour le polissage des composites. Par ailleurs, il est nécessaire de corréler le système de polissage à la nature du composite. En 2017, une thèse de revue de la littérature sur le polissage des composites a été réalisée à l’université de Bordeaux. La thèse conclut que le système majoritairement étudié et utilisé dans la pratique est le système de disques diamantés Sof-Lex®. D’après ces études, le Sof-Lex® permet d’obtenir la surface la moins rugueuse. En revanche, aucune étude ne fait mention du respect de l’intégrité des tissus dentaires bordant la restauration. Le polissoir idéal doit certes permettre de lisser et polir la surface en composite, mais il doit être suffisamment sélectif pour préserver au maximum l’émail adjacent. L’objectif de ce travail de thèse est de comparer deux séquences de polissage : le Sof-Lex® et un nouveau système commercialisé par Komet conçu pour optimiser le polissage du composite tout en préservant les tissus adjacents : le Kompoline®. Une étude ex-vivo a été réalisée sur dents avulsées. L’intégrité des tissus dentaires bordant la restauration a été observée au microscope numérique. Ce travail de recherche pourrait aboutir à une prise de conscience du délabrement dentaire généré par les séquences de polissage actuellement plébiscitées
Discipline : Chirurgie dentaire
Mots-clés libres : Odontostomatologie -- Appareils et matériel, Composites en odontostomatologie, Émail dentaire, Microscopie électronique à balayage, Polissage dentaire -- Dissertation universitaire, 617.6 Dentisterie. Stomatologie. Orthodontie
Couverture : FR
Composante : DENTAIRE
Date de création : 30-06-2021
Résumé(s) : Les résines composites sont aujourd’hui largement plébiscitées pour la réalisation de restaurations directes. Ces dernières possèdent des propriétés mécaniques et esthétiques de plus en plus performantes, grâce, notamment, à l’évolution de la chimie de la phase résineuse mais également, grâce à l’augmentation de la teneur en charges. Les composites directs majoritairement utilisés aujourd’hui sont des composites microhybrides ou microhybrides nanochargés. Actuellement, quand on envisage une restauration en composite, le débat porte majoritairement sur le choix des matériaux et sur la technique de stratification. La finition et le polissage des composites, souvent réalisés très rapidement en fin de séance, restent les étapes les plus négligées. Si les protocoles de stratification des composites sont aujourd’hui bien codifiés, aucun consensus n’existe, à l’heure actuelle, pour le polissage des composites. Par ailleurs, il est nécessaire de corréler le système de polissage à la nature du composite. En 2017, une thèse de revue de la littérature sur le polissage des composites a été réalisée à l’université de Bordeaux. La thèse conclut que le système majoritairement étudié et utilisé dans la pratique est le système de disques diamantés Sof-Lex®. D’après ces études, le Sof-Lex® permet d’obtenir la surface la moins rugueuse. En revanche, aucune étude ne fait mention du respect de l’intégrité des tissus dentaires bordant la restauration. Le polissoir idéal doit certes permettre de lisser et polir la surface en composite, mais il doit être suffisamment sélectif pour préserver au maximum l’émail adjacent. L’objectif de ce travail de thèse est de comparer deux séquences de polissage : le Sof-Lex® et un nouveau système commercialisé par Komet conçu pour optimiser le polissage du composite tout en préservant les tissus adjacents : le Kompoline®. Une étude ex-vivo a été réalisée sur dents avulsées. L’intégrité des tissus dentaires bordant la restauration a été observée au microscope numérique. Ce travail de recherche pourrait aboutir à une prise de conscience du délabrement dentaire généré par les séquences de polissage actuellement plébiscitées
Discipline : Chirurgie dentaire
Mots-clés libres : Odontostomatologie -- Appareils et matériel, Composites en odontostomatologie, Émail dentaire, Microscopie électronique à balayage, Polissage dentaire -- Dissertation universitaire, 617.6 Dentisterie. Stomatologie. Orthodontie
Couverture : FR
Type : Thèse d’exercice, These d'exercice Unistra
Format : Document PDF
Source(s) :
Format : Document PDF
Source(s) :
- http://www.sudoc.fr/261100114
Entrepôt d'origine :
Identifiant : ecrin-ori-327107
Type de ressource : Ressource documentaire
Identifiant : ecrin-ori-327107
Type de ressource : Ressource documentaire