Placement d'un implant au travers d'un tissu dentaire : une mise au point/thèse présentée pour le diplôme d'État de docteur en chirurgie dentaire le 17 septembre 2020
Langue Français
Langue Français
Auteur(s) : Dodane Pierre-Alexis
Composante : DENTAIRE
Date de création : 30-06-2020
Résumé(s) : La pose d’un implant dentaire nécessite des examens clinique et radiographique préalables qui peuvent mettre en évidence un « obstacle » sur le trajet implantaire comme une dent incluse ou une racine résiduelle. Les canines, après les troisièmes molaires, sont les dents les plus fréquemment incluses. Selon les conditions anatomiques de la dent incluse ainsi que du site receveur, il est possible de s’abstenir d’extraire la dent incluse et positionner l’implant au travers du tissu osseux et du tissu dentaire : c’est l’implantation trans-corono-radiculaire. Cette technique peut également être envisagé en présence de racines résiduelles. Le fait de garder le tissu dentaire en place permet d’éviter une perte osseuse qui devrait être comblée par une greffe osseuse, mais également de diminuer les risques peropératoires et postopératoires liés aux conditions anatomiques. Au niveau du secteur maxillaire antérieur, dans certains cas, une autre technique la socket shield technique) consiste à conserver la partie vestibulaire de la racine d’une incisive à extraire avant de poser l’implant afin de conserver la corticale osseuse vestibulaire ainsi que les papilles interdentaires pour une meilleure intégration esthétique. Nous proposons dans ce travail de rappeler les principes de l’ostéointégration, d’étudier l’intégration d’un implant au contact d’un tissu dentaire et de définir les indications cliniques ainsi que les bénéfices et les risques à court, moyen et à long terme associés de ces approches implantaires non conventionnelles
Discipline : Chirurgie dentaire
Composante : DENTAIRE
Date de création : 30-06-2020
Résumé(s) : La pose d’un implant dentaire nécessite des examens clinique et radiographique préalables qui peuvent mettre en évidence un « obstacle » sur le trajet implantaire comme une dent incluse ou une racine résiduelle. Les canines, après les troisièmes molaires, sont les dents les plus fréquemment incluses. Selon les conditions anatomiques de la dent incluse ainsi que du site receveur, il est possible de s’abstenir d’extraire la dent incluse et positionner l’implant au travers du tissu osseux et du tissu dentaire : c’est l’implantation trans-corono-radiculaire. Cette technique peut également être envisagé en présence de racines résiduelles. Le fait de garder le tissu dentaire en place permet d’éviter une perte osseuse qui devrait être comblée par une greffe osseuse, mais également de diminuer les risques peropératoires et postopératoires liés aux conditions anatomiques. Au niveau du secteur maxillaire antérieur, dans certains cas, une autre technique la socket shield technique) consiste à conserver la partie vestibulaire de la racine d’une incisive à extraire avant de poser l’implant afin de conserver la corticale osseuse vestibulaire ainsi que les papilles interdentaires pour une meilleure intégration esthétique. Nous proposons dans ce travail de rappeler les principes de l’ostéointégration, d’étudier l’intégration d’un implant au contact d’un tissu dentaire et de définir les indications cliniques ainsi que les bénéfices et les risques à court, moyen et à long terme associés de ces approches implantaires non conventionnelles
Discipline : Chirurgie dentaire
Mots-clés libres :
Couverture : FR
- Implants dentaires
- Ostéo-intégration
- Interface os-implant -- Dissertation universitaire
- Résorption alvéolaire -- Dissertation universitaire
- 617.6 Dentisterie. Stomatologie. Orthodontie
Type : Thèse d’exercice, These d'exercice Unistra
Format : Document PDF
Source(s) :
Format : Document PDF
Source(s) :
- http://www.sudoc.fr/261605445
Entrepôt d'origine :
Identifiant : ecrin-ori-327562
Type de ressource : Ressource documentaire

Identifiant : ecrin-ori-327562
Type de ressource : Ressource documentaire