Prescription de l'activité physique : évaluation des pratiques professionnelles au vu des recommandations de 2019 de la Haute Autorité de Santé/diplôme d'État de sage-femme
Langue Français
Langue Français
Auteur(s) : Miolin Lucile
Composante : Ecole de sages-femmes de Strasbourg
Date de création : 30-06-2022
Description : Médecine, Introduction : Selon la Haute Autorité de Santé, les bénéfices de l’activité physique pendant la grossesse pour la mère et pour l’enfant sont tels que la pratique d’une activité physique doit être conseillée à toutes les femmes enceintes, avec un volume de 150 à 180 min/sem, qui doit être adapté à l’état de santé et à l’évolution de la grossesse. Les conseils des professionnels de la périnatalité sont significativement associés à l’intention des femmes d’atteindre ces recommandations. L’objectif de ce mémoire est d’évaluer les pratiques professionnelles de prescription de l’activité physique pendant la grossesse et en post-partum au vu des recommandations de la HAS de 2019. Méthodes : Une étude semi-quantitative observationnelle transversale descriptive par questionnaire destiné aux sages-femmes et gynécologues exerçant dans le Bas-Rhin en 2021. L’étude a recensé 108 réponses analysables. Résultats : L’activité physique est conseillée systématiquement par moins de la moitié des professionnels (44%) bien que la grande majorité d’entre eux (93,5%) sache qu’elle doit être conseillée à toutes les femmes enceintes. Les professionnels ont généralement des connaissances partielles des bénéfices ainsi que des modalités de pratique et de prescription de l’activité physique pendant la grossesse. Dans la même lignée, leurs pratiques de prescription sont globalement moyennes. Ce n’est toutefois pas étonnant car moins de 20% des professionnels ont connaissance des recommandations de 2019 de la HAS et des autres ressources à leur disposition. Conclusion : Malgré des recommandations françaises et internationales univoques, les pratiques de prescription des professionnels ne sont pas optimales et pas forcément en accord avec les recommandations de la HAS dont peu en connaissait l’existence. De meilleures connaissances et utilisation des ressources sur lesquelles les professionnels pourraient appuyer leurs conseils permettraient d’améliorer leurs pratiques de prescription., Thèses et écrits académiques
Mots-clés libres : Grossesse, 618.1-8, Recommandations pour la pratique clinique, Connaissances, attitudes et pratiques en santé
Couverture : FR
Composante : Ecole de sages-femmes de Strasbourg
Date de création : 30-06-2022
Description : Médecine, Introduction : Selon la Haute Autorité de Santé, les bénéfices de l’activité physique pendant la grossesse pour la mère et pour l’enfant sont tels que la pratique d’une activité physique doit être conseillée à toutes les femmes enceintes, avec un volume de 150 à 180 min/sem, qui doit être adapté à l’état de santé et à l’évolution de la grossesse. Les conseils des professionnels de la périnatalité sont significativement associés à l’intention des femmes d’atteindre ces recommandations. L’objectif de ce mémoire est d’évaluer les pratiques professionnelles de prescription de l’activité physique pendant la grossesse et en post-partum au vu des recommandations de la HAS de 2019. Méthodes : Une étude semi-quantitative observationnelle transversale descriptive par questionnaire destiné aux sages-femmes et gynécologues exerçant dans le Bas-Rhin en 2021. L’étude a recensé 108 réponses analysables. Résultats : L’activité physique est conseillée systématiquement par moins de la moitié des professionnels (44%) bien que la grande majorité d’entre eux (93,5%) sache qu’elle doit être conseillée à toutes les femmes enceintes. Les professionnels ont généralement des connaissances partielles des bénéfices ainsi que des modalités de pratique et de prescription de l’activité physique pendant la grossesse. Dans la même lignée, leurs pratiques de prescription sont globalement moyennes. Ce n’est toutefois pas étonnant car moins de 20% des professionnels ont connaissance des recommandations de 2019 de la HAS et des autres ressources à leur disposition. Conclusion : Malgré des recommandations françaises et internationales univoques, les pratiques de prescription des professionnels ne sont pas optimales et pas forcément en accord avec les recommandations de la HAS dont peu en connaissait l’existence. De meilleures connaissances et utilisation des ressources sur lesquelles les professionnels pourraient appuyer leurs conseils permettraient d’améliorer leurs pratiques de prescription., Thèses et écrits académiques
Mots-clés libres : Grossesse, 618.1-8, Recommandations pour la pratique clinique, Connaissances, attitudes et pratiques en santé
Couverture : FR
Type : Mémoire de sage-femme, ressource électronique
Format : Document PDF
Source(s) :
Format : Document PDF
Source(s) :
- http://www.sudoc.fr/264342542
Entrepôt d'origine :
Identifiant : ecrin-ori-331533
Type de ressource : Ressource documentaire
Identifiant : ecrin-ori-331533
Type de ressource : Ressource documentaire