L'os pétreux, une alternative à l'organe dentaire en paléogénétique ? : Thèse présentée pour le diplôme d'Etat de docteur en chirurgie dentaire le 13 décembre 2018
Langue Français
Langue Français
Auteur(s) : Krumenacker, Laura
Directeur : Keyser, Christine, Étienne, Olivier
Composante : DENTAIRE
Date de création : 13-12-2018
Description : Chirurgie dentaire, L’étude de l’ADN extrait de restes anciens (ou paléogénétique) permet de restituer l’histoire des populations ou civilisations du passé. Depuis l’avènement de cette discipline, l’organe dentaire constitue une source d’ADN privilégiée. Considéré comme le « coffre-fort » de l’ADN, sa localisation anatomique, sa structure morphologique ainsi que la multiplicité de ses exemplaires offrent en effet une protection unique à la dégradation des molécules d’ADN ancien ainsi qu’à leur contamination par de l’ADN exogène. Or, de récentes publications proposent une alternative intéressante à l’organe dentaire qui devrait permettre d’obtenir une proportion d’ADN ancien endogène bien plus favorable. Il s’agit de la portion pétreuse de l’os temporal, renfermant la capsule otique et correspondant à l’os le plus dense de l’organisme chez les mammifères. Notre étude aura donc pour objectif la comparaison qualitative de l’ADN obtenu à partir de l’os pétreux par rapport à celui issu de l’organe dentaire. Sur la base de références bibliographiques mais surtout des travaux de recherches menés à l’Institut de Médecine Légale de la Faculté de Médecine de Strasbourg et dans une unité affiliée à l’INSERM, nous allons tenter de déterminer si l’os pétreux peut réellement constituer une alternative à l’organe dentaire dans le cadre de travaux sur l’ADN ancien., Thèses et écrits académiques
Mots-clés libres : Paléogénétique, Dent, Rocher, ADN ancien, Histologie, 617.6
Couverture : FR
Directeur : Keyser, Christine, Étienne, Olivier
Composante : DENTAIRE
Date de création : 13-12-2018
Description : Chirurgie dentaire, L’étude de l’ADN extrait de restes anciens (ou paléogénétique) permet de restituer l’histoire des populations ou civilisations du passé. Depuis l’avènement de cette discipline, l’organe dentaire constitue une source d’ADN privilégiée. Considéré comme le « coffre-fort » de l’ADN, sa localisation anatomique, sa structure morphologique ainsi que la multiplicité de ses exemplaires offrent en effet une protection unique à la dégradation des molécules d’ADN ancien ainsi qu’à leur contamination par de l’ADN exogène. Or, de récentes publications proposent une alternative intéressante à l’organe dentaire qui devrait permettre d’obtenir une proportion d’ADN ancien endogène bien plus favorable. Il s’agit de la portion pétreuse de l’os temporal, renfermant la capsule otique et correspondant à l’os le plus dense de l’organisme chez les mammifères. Notre étude aura donc pour objectif la comparaison qualitative de l’ADN obtenu à partir de l’os pétreux par rapport à celui issu de l’organe dentaire. Sur la base de références bibliographiques mais surtout des travaux de recherches menés à l’Institut de Médecine Légale de la Faculté de Médecine de Strasbourg et dans une unité affiliée à l’INSERM, nous allons tenter de déterminer si l’os pétreux peut réellement constituer une alternative à l’organe dentaire dans le cadre de travaux sur l’ADN ancien., Thèses et écrits académiques
Mots-clés libres : Paléogénétique, Dent, Rocher, ADN ancien, Histologie, 617.6
Couverture : FR
Type : Thèse d'exercice
Format : PDF
Source(s) :
Format : PDF
Source(s) :
- http://www.sudoc.fr/276305787
Entrepôt d'origine :
Identifiant : ecrin-ori-360216
Type de ressource : Ressource documentaire
![Ressource locale](https://ecrin.app.unistra.fr/search/media/repositories/workflow.png)
Identifiant : ecrin-ori-360216
Type de ressource : Ressource documentaire