Utilisation du conebeam computed tomography dans le diagnostic positionnel des canines incluses maxillaires : thèse présentée pour le diplôme d'État de docteur en chirurgie dentaire
Langue Français
Langue Français
Auteur(s) : Amar, Déborah
Directeur(s) : Bahi-Gross, Sophie
Composante : DENTAIRE
Date de création : 30-06-2015
Résumé(s) : L'imagerie par faisceau conique entre en période de maturité. La qualité des images obtenues autorise, au prix d'une irradiation modérée, l'étude de la majorité des affections dento-maxilo-faciale avec une qualité nettement supérieure à celle du panoramique dentaire et du scanner. Parmi ces affections l'inclusion des canines est fréquemment retrouvée. Celle ci concerne 1 à 3 % de la population avec un ratio femme/homme de 2/1. La fréquence d'inclusion des canines maxillaires est 2 fois supérieure à celle des canines mandibulaires et l'inclusion est plus fréquemment palatine que vestibulaire (8/1). Afin de déterminer la position exacte des canines (couronne et apex), la proximité de la canine avec les structures anatomiques voisines, la présence de résorptions radiculaires sur les dents voisines et la difficulté du cas à traiter, il est nécessaire d'avoir des clichés radiographiques d'une extrême précision qui nous permettront de développer une stratégie thérapeutique appropriée. C'est dans cette optique qu'en 1987 Kurol et Ericson réalisent une étude dans laquelle ils mettent en évidence 2 fois plus de résorptions des incisives latérales avec un scanner qu'avec la radiologie conventionnelle et qu'en 2010 Boticelli mène une étude similaire en comparant les informations recueillies par image 2D conventionnelles à celles déterminées par le CBCT chez des patients présentant au moins une canine incluse. Les conclusions étaient semblables: l'imagerie tridimensionnelle donne une précision concernant la position des canines incluses largement supérieure aux autres techniques de radiologie et permet ainsi d'établir un diagnostic et un plan de traitement adapté. L'utilisation du CBCT peut elle être systématique après diagnostic d'une canine incluse chez un patient ? Quel est alors le moment approprié: avant de débuter le traitement orthodontique ou bien avant l'exposition chirurgicale ? Pour répondre à ces questions, une étude clinique sur 80 CBCT, au pôle de médecine bucco-dentaire des Hôpitaux Universitaires de Strasbourg, a été réalisée.
Discipline : Chirurgie dentaire
Mots-clés libres : Tomodensitométrie à faisceau conique, Canine, Résorption dentaire, 617.6
Couverture : FR
Directeur(s) : Bahi-Gross, Sophie
Composante : DENTAIRE
Date de création : 30-06-2015
Résumé(s) : L'imagerie par faisceau conique entre en période de maturité. La qualité des images obtenues autorise, au prix d'une irradiation modérée, l'étude de la majorité des affections dento-maxilo-faciale avec une qualité nettement supérieure à celle du panoramique dentaire et du scanner. Parmi ces affections l'inclusion des canines est fréquemment retrouvée. Celle ci concerne 1 à 3 % de la population avec un ratio femme/homme de 2/1. La fréquence d'inclusion des canines maxillaires est 2 fois supérieure à celle des canines mandibulaires et l'inclusion est plus fréquemment palatine que vestibulaire (8/1). Afin de déterminer la position exacte des canines (couronne et apex), la proximité de la canine avec les structures anatomiques voisines, la présence de résorptions radiculaires sur les dents voisines et la difficulté du cas à traiter, il est nécessaire d'avoir des clichés radiographiques d'une extrême précision qui nous permettront de développer une stratégie thérapeutique appropriée. C'est dans cette optique qu'en 1987 Kurol et Ericson réalisent une étude dans laquelle ils mettent en évidence 2 fois plus de résorptions des incisives latérales avec un scanner qu'avec la radiologie conventionnelle et qu'en 2010 Boticelli mène une étude similaire en comparant les informations recueillies par image 2D conventionnelles à celles déterminées par le CBCT chez des patients présentant au moins une canine incluse. Les conclusions étaient semblables: l'imagerie tridimensionnelle donne une précision concernant la position des canines incluses largement supérieure aux autres techniques de radiologie et permet ainsi d'établir un diagnostic et un plan de traitement adapté. L'utilisation du CBCT peut elle être systématique après diagnostic d'une canine incluse chez un patient ? Quel est alors le moment approprié: avant de débuter le traitement orthodontique ou bien avant l'exposition chirurgicale ? Pour répondre à ces questions, une étude clinique sur 80 CBCT, au pôle de médecine bucco-dentaire des Hôpitaux Universitaires de Strasbourg, a été réalisée.
Discipline : Chirurgie dentaire
Mots-clés libres : Tomodensitométrie à faisceau conique, Canine, Résorption dentaire, 617.6
Couverture : FR
Type : Thèse d'exercice, These d'exercice Unistra
Format : PDF
Source(s) :
Format : PDF
Source(s) :
- http://www.sudoc.fr/27852804X
Entrepôt d'origine :
Identifiant : ecrin-ori-365401
Type de ressource : Ressource documentaire
Identifiant : ecrin-ori-365401
Type de ressource : Ressource documentaire