Utilisation de l'implant contraceptif en médecin générale en Alsace : analyse des différences de recherche et de gestion des effets indésirables de l'implant contraceptif entre les médecins ayant une activité de pose d'implant et ceux n'en ayant pas : thèse présentée pour le diplôme d'État de docteur en médecine : diplôme d'État mention médecine générale
Langue Français
Langue Français
Auteur(s) : Streissel, Jean
Directeur(s) : Boisramé, Thomas
Président du jury : Youssef Azer Akladios, Cherif
Composante : Faculté de médecine, maïeutique et sciences de la santé
Établissement : Université de Strasbourg
Date de création : 30-06-2025
Résumé(s) : Les médecins généralistes sont une minorité à poser des implants, surtout en raison d’un manque de demande de la part des patientes, et d’un manque de formation pour ce geste technique. Il n’y a pas de différence notable dans la recherche des effets indésirables. Les médecins interrogés ont une attitude attentive, et ne mettent pas en place de suivi spécifique suite à la pose d’un implant. Les médecins posant des implants sont plus autonomes dans la gestion des effets indésirables : ils privilégient une surveillance rapprochée, ou le retrait de l’implant qu’ils réalisent alors majoritairement eux-mêmes. Ceux ne réalisant pas de pose d’implants ont quant à eux plus tendance à adresser la patiente vers un spécialiste en cas de survenue d’effets indésirables. Une autonomisation des médecins généralistes vis-à-vis des gestes techniques liés à l’implant permettrait de proposer l’implant plus souvent vu qu’il s’agit de la méthode de contraception avec le meilleur indice de Pearl, General practitioners are a minority when it comes to inserting implants, mainly due to a lack of patient demand and insufficient training for this technical procedure. There is no significant difference in the investigation of adverse effects. The surveyed physicians adopt a vigilant approach but do not implement specific follow-up after implant insertion. Physicians who insert implants are more autonomous in managing adverse effects: they favor close monitoring or implant removal, which they usually perform themselves. Those who do not insert implants tend to refer patients to a specialist in case of adverse effects. Empowering general practitioners in technical procedures related to the implant could lead to more frequent implant proposals, as it is the contraceptive method with the best Pearl Index
Discipline : Médecine (médecine générale)
Directeur(s) : Boisramé, Thomas
Président du jury : Youssef Azer Akladios, Cherif
Composante : Faculté de médecine, maïeutique et sciences de la santé
Établissement : Université de Strasbourg
Date de création : 30-06-2025
Résumé(s) : Les médecins généralistes sont une minorité à poser des implants, surtout en raison d’un manque de demande de la part des patientes, et d’un manque de formation pour ce geste technique. Il n’y a pas de différence notable dans la recherche des effets indésirables. Les médecins interrogés ont une attitude attentive, et ne mettent pas en place de suivi spécifique suite à la pose d’un implant. Les médecins posant des implants sont plus autonomes dans la gestion des effets indésirables : ils privilégient une surveillance rapprochée, ou le retrait de l’implant qu’ils réalisent alors majoritairement eux-mêmes. Ceux ne réalisant pas de pose d’implants ont quant à eux plus tendance à adresser la patiente vers un spécialiste en cas de survenue d’effets indésirables. Une autonomisation des médecins généralistes vis-à-vis des gestes techniques liés à l’implant permettrait de proposer l’implant plus souvent vu qu’il s’agit de la méthode de contraception avec le meilleur indice de Pearl, General practitioners are a minority when it comes to inserting implants, mainly due to a lack of patient demand and insufficient training for this technical procedure. There is no significant difference in the investigation of adverse effects. The surveyed physicians adopt a vigilant approach but do not implement specific follow-up after implant insertion. Physicians who insert implants are more autonomous in managing adverse effects: they favor close monitoring or implant removal, which they usually perform themselves. Those who do not insert implants tend to refer patients to a specialist in case of adverse effects. Empowering general practitioners in technical procedures related to the implant could lead to more frequent implant proposals, as it is the contraceptive method with the best Pearl Index
Discipline : Médecine (médecine générale)
Mots-clés libres :
Couverture : FR
- Médecins généralistes
- Contraceptifs
- effets indésirables
- Alsace (France)
- 610
Type : Thèse d'exercice, These d'exercice Unistra
Format : Document PDF
Source(s) :
Format : Document PDF
Source(s) :
- http://www.sudoc.fr/285272012
Entrepôt d'origine :
Identifiant : ecrin-ori-383069
Type de ressource : Ressource documentaire

Identifiant : ecrin-ori-383069
Type de ressource : Ressource documentaire