Évaluation qualitative des empreintes physicochimiques en secteur libéral dans la région du Bas-Rhin
Langue Français
Langue Français
Auteur(s) : Messas David
Directeur(s) : Étienne Olivier
Composante : DENTAIRE
Date de création : 21-11-2017
Résumé(s) : Résumé : au cours de la réalisation de prothèses dentaires fixées, l’étape de l’empreinte est une phase clef dans la réussite du traitement. Elle représente le vecteur d’information pour le laboratoire, qui, à partir de celle-ci, élabore un modèle sur lequel la pièce prothétique va être conçue. L’empreinte conventionnelle, dite physico-chimique, requiert une mise en condition des tissus gingivaux périphériques, et nécessite l’utilisation de matériaux tels que le silicone ou les polyéthers. L’empreinte est obtenue en négatif, et les imperfections peuvent être difficiles à discerner. L’empreinte optique intra-orale, quant à elle, se distingue par un enregistrement numérique. Elle est visualisable en positif, et s’affranchit des contraintes liées aux matériaux et aux traitements. Néanmoins, elle nécessite les mêmes impératifs cliniques que pour l’empreinte conventionnelle (déflexion gingivale, absence de fluides…), et n’enregistre que les structures visibles. Dans ce travail de thèse, nous avons mené une étude avec comme objectif l’évaluation qualitative d’empreintes conventionnelles réalisées en exercice libéral, de chirurgiens-dentistes aux alentours de Strasbourg. Notre évaluation, en 4 grades, a mis en évidence les limites de l’empreinte physico-chimique puisque la moitié environ d’entre elles (255 sur 492 analysées) ont été notées dans des grades rendant la réalisation prothétique difficile voire impossible en théorie. Loin de se poser en censeur, cette étude rend sensible à l’apport que pourrait représenter l’empreinte optique, plus facile à « lire » pour le praticien au fauteuil et autorisant une correction/réfection immédiate. Il est alors possible d’imaginer que le niveau qualitatif moyen n’en serait que meilleur., Summary : During the achievement of fixed dental protheses, the impression step is one of the most important phase for the success of the treatement. It represents the vector of information for le laboratory, which elaborates the prosthetic piece. The conventional impression requires a conditioning of marginal gum, and requires the use of materials such as silicone or polyethers. The impression is obtained in negative, and imprefections can be difficult to discern. The intra-oral digital impression, meanwhile, is distinguished by a digital recording. The impression is viewable in positive, and free from contraints relates to materials and treatements. Nevertheless, it requires the same clinical imperatives as for the conventional impression (gingival deflection, absence of fluids...) and only records the visible structures. In this thesis work, we conducted a study about assessement of the quality of conventional impressions made in private practice around Strasbourg. Our assessement, in four grades, highlighted the limits of the conventional impressions since about half of them (255 out of 492 analyzed) were noted in grades making the prosthetic realization difficult, even impossible in theory. Far from being a censor, this study makes sensitive to the contribution that could represent the digital impression, easier to "read" for the practician, and allowing correction/immediate repair. It is then possible to imagine that the average qualitative level would be only better.
Discipline : Médecine. Chirurgie dentaire
Mots-clés libres : Empreintes dentaires, 617.6, Recherche qualitative
Couverture : FR
Directeur(s) : Étienne Olivier
Composante : DENTAIRE
Date de création : 21-11-2017
Résumé(s) : Résumé : au cours de la réalisation de prothèses dentaires fixées, l’étape de l’empreinte est une phase clef dans la réussite du traitement. Elle représente le vecteur d’information pour le laboratoire, qui, à partir de celle-ci, élabore un modèle sur lequel la pièce prothétique va être conçue. L’empreinte conventionnelle, dite physico-chimique, requiert une mise en condition des tissus gingivaux périphériques, et nécessite l’utilisation de matériaux tels que le silicone ou les polyéthers. L’empreinte est obtenue en négatif, et les imperfections peuvent être difficiles à discerner. L’empreinte optique intra-orale, quant à elle, se distingue par un enregistrement numérique. Elle est visualisable en positif, et s’affranchit des contraintes liées aux matériaux et aux traitements. Néanmoins, elle nécessite les mêmes impératifs cliniques que pour l’empreinte conventionnelle (déflexion gingivale, absence de fluides…), et n’enregistre que les structures visibles. Dans ce travail de thèse, nous avons mené une étude avec comme objectif l’évaluation qualitative d’empreintes conventionnelles réalisées en exercice libéral, de chirurgiens-dentistes aux alentours de Strasbourg. Notre évaluation, en 4 grades, a mis en évidence les limites de l’empreinte physico-chimique puisque la moitié environ d’entre elles (255 sur 492 analysées) ont été notées dans des grades rendant la réalisation prothétique difficile voire impossible en théorie. Loin de se poser en censeur, cette étude rend sensible à l’apport que pourrait représenter l’empreinte optique, plus facile à « lire » pour le praticien au fauteuil et autorisant une correction/réfection immédiate. Il est alors possible d’imaginer que le niveau qualitatif moyen n’en serait que meilleur., Summary : During the achievement of fixed dental protheses, the impression step is one of the most important phase for the success of the treatement. It represents the vector of information for le laboratory, which elaborates the prosthetic piece. The conventional impression requires a conditioning of marginal gum, and requires the use of materials such as silicone or polyethers. The impression is obtained in negative, and imprefections can be difficult to discern. The intra-oral digital impression, meanwhile, is distinguished by a digital recording. The impression is viewable in positive, and free from contraints relates to materials and treatements. Nevertheless, it requires the same clinical imperatives as for the conventional impression (gingival deflection, absence of fluids...) and only records the visible structures. In this thesis work, we conducted a study about assessement of the quality of conventional impressions made in private practice around Strasbourg. Our assessement, in four grades, highlighted the limits of the conventional impressions since about half of them (255 out of 492 analyzed) were noted in grades making the prosthetic realization difficult, even impossible in theory. Far from being a censor, this study makes sensitive to the contribution that could represent the digital impression, easier to "read" for the practician, and allowing correction/immediate repair. It is then possible to imagine that the average qualitative level would be only better.
Discipline : Médecine. Chirurgie dentaire
Mots-clés libres : Empreintes dentaires, 617.6, Recherche qualitative
Couverture : FR
Type : Thèse d’exercice, Chirurgie dentaire, These d'exercice Unistra
Format : Document PDF
Source(s) :
Format : Document PDF
Source(s) :
- http://www.sudoc.fr/234271671
Entrepôt d'origine :
Identifiant : ecrin-ori-75988
Type de ressource : Ressource documentaire
Identifiant : ecrin-ori-75988
Type de ressource : Ressource documentaire