La traçabilité au cabinet dentaire
Langue Français
Langue Français
Auteur(s) : Goetz Mélina
Directeur(s) : Musset Anne-Marie
Composante : DENTAIRE
Date de création : 18-12-2018
Résumé(s) : Résumé : une réelle anxiété de la part de nos patients a existé il y a de ça quelques années en ce qui concerne les risques de transmissions de maladies nosocomiales au sein des structures de soins, je citerai notamment la maladie de Creutzfeldt-Jakob qui a donné lieu aux cycles prions. Devant ces inquiétudes, nos instances ont rédigé de nombreuses réglementations et guides de recommandations en ce qui concerne la chaine d’asepsie incluant notamment le cycle de stérilisation. La stérilisation consistant en une diminution du nombre de micro-organismes présents, seule la traçabilité du prétraitement, du nettoyage, de la stérilisation et de la conservation de l’état stérile nous permet d’apporter la preuve d’un traitement correct de nos dispositifs médicaux. Mais aujourd’hui nos patients s’interrogent aussi sur l’origine de nos prothèses ainsi que sur les matériaux et les références des systèmes implantaires utilisés. Dernièrement le conseil de l’Ordre a diligenté un questionnaire auprès des chirurgiens-dentistes en les interrogeant notamment sur l’élimination des DASRI et des déchets d’amalgames, sur le bionettoyage, la pré-désinfection des surfaces de travail, la chaine d’asepsie, l’archivage des radios et le contrôle des installations électriques preuve s’il en est de l’augmentation des charges qui nous incombent. Actuellement quelles sont nos véritables obligations en terme de traçabilité ? Comment appliquer cela de manière concrète dans nos cabinets dentaires ? Sur quels supports est-il possible de l’appliquer ? Peut-on rendre la traçabilité plus accessible et facile à mettre en œuvre quotidiennement ? Et combien de temps doit-on conserver l’ensemble de ces informations ?, Summary : A real anxiety on the part of our patients existed a few years ago with regard to the risks of nosocomial disease transmission within healthcare structures, I will mention in particular the Creutzfeldt-Jakob disease which gave rise to prion cycles. Faced with these concerns, our authorities have drafted numerous regulations and recommendations for the aseptic chain, including the sterilization cycle. Sterilization is a reduction in the number of microorganisms present, only the traceability of pretreatment, cleaning, sterilization and preservation of the sterile state allows us to provide evidence of a correct treatment of our devices medical. But today our patients also wonder about the origin of our prostheses as well as the materials and references of the implant systems used. Recently, the Council of the Order sent a questionnaire to dental surgeons asking them about the elimination of DASRI and amalgam waste, on the biocleaning, the pre-disinfection of work surfaces, the chain of asepsis, the archiving of radios and the control of the electrical installations proof if it is of the increase of the charges incumbent on us. Currently what are our real obligations in terms of traceability? How to apply it concretely in our dental practices? On what supports is it possible to apply it? Can traceability be made more accessible and easier to implement on a daily basis? And how long should we keep all this information?
Discipline : Médecine. Chirurgie dentaire
Mots-clés libres : Cabinets dentaires Thèses et écrits académiques, 617.6, Traçabilité, Asepsie et antisepsie, Surveillance post-commercialisation des produits de santé
Couverture : FR
Directeur(s) : Musset Anne-Marie
Composante : DENTAIRE
Date de création : 18-12-2018
Résumé(s) : Résumé : une réelle anxiété de la part de nos patients a existé il y a de ça quelques années en ce qui concerne les risques de transmissions de maladies nosocomiales au sein des structures de soins, je citerai notamment la maladie de Creutzfeldt-Jakob qui a donné lieu aux cycles prions. Devant ces inquiétudes, nos instances ont rédigé de nombreuses réglementations et guides de recommandations en ce qui concerne la chaine d’asepsie incluant notamment le cycle de stérilisation. La stérilisation consistant en une diminution du nombre de micro-organismes présents, seule la traçabilité du prétraitement, du nettoyage, de la stérilisation et de la conservation de l’état stérile nous permet d’apporter la preuve d’un traitement correct de nos dispositifs médicaux. Mais aujourd’hui nos patients s’interrogent aussi sur l’origine de nos prothèses ainsi que sur les matériaux et les références des systèmes implantaires utilisés. Dernièrement le conseil de l’Ordre a diligenté un questionnaire auprès des chirurgiens-dentistes en les interrogeant notamment sur l’élimination des DASRI et des déchets d’amalgames, sur le bionettoyage, la pré-désinfection des surfaces de travail, la chaine d’asepsie, l’archivage des radios et le contrôle des installations électriques preuve s’il en est de l’augmentation des charges qui nous incombent. Actuellement quelles sont nos véritables obligations en terme de traçabilité ? Comment appliquer cela de manière concrète dans nos cabinets dentaires ? Sur quels supports est-il possible de l’appliquer ? Peut-on rendre la traçabilité plus accessible et facile à mettre en œuvre quotidiennement ? Et combien de temps doit-on conserver l’ensemble de ces informations ?, Summary : A real anxiety on the part of our patients existed a few years ago with regard to the risks of nosocomial disease transmission within healthcare structures, I will mention in particular the Creutzfeldt-Jakob disease which gave rise to prion cycles. Faced with these concerns, our authorities have drafted numerous regulations and recommendations for the aseptic chain, including the sterilization cycle. Sterilization is a reduction in the number of microorganisms present, only the traceability of pretreatment, cleaning, sterilization and preservation of the sterile state allows us to provide evidence of a correct treatment of our devices medical. But today our patients also wonder about the origin of our prostheses as well as the materials and references of the implant systems used. Recently, the Council of the Order sent a questionnaire to dental surgeons asking them about the elimination of DASRI and amalgam waste, on the biocleaning, the pre-disinfection of work surfaces, the chain of asepsis, the archiving of radios and the control of the electrical installations proof if it is of the increase of the charges incumbent on us. Currently what are our real obligations in terms of traceability? How to apply it concretely in our dental practices? On what supports is it possible to apply it? Can traceability be made more accessible and easier to implement on a daily basis? And how long should we keep all this information?
Discipline : Médecine. Chirurgie dentaire
Mots-clés libres : Cabinets dentaires Thèses et écrits académiques, 617.6, Traçabilité, Asepsie et antisepsie, Surveillance post-commercialisation des produits de santé
Couverture : FR
Type : Thèse d’exercice, Chirurgie dentaire, These d'exercice Unistra
Format : Document PDF
Source(s) :
Format : Document PDF
Source(s) :
- http://www.sudoc.fr/23600817X
Entrepôt d'origine :
Identifiant : ecrin-ori-77998
Type de ressource : Ressource documentaire
Identifiant : ecrin-ori-77998
Type de ressource : Ressource documentaire