Développement de nouvelles méthodes d'insertion du groupement trifluorométhyléther
Langue Français
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Modalités de diffusion de la thèse :
  • Thèse confidentielle jusqu'au 31/12/2024.
  • Thèse soumise à l'embargo de l'auteur jusqu'au 31/12/2024 (communication intranet).
 
Auteur : Saiter, Jérémy
Date de soutenance : 18-06-2021

Directeur(s) de thèse : Leroux, Frédéric - Hanquet, Gilles

Président : Meyer, Christophe
Rapporteur(s) : Lequeux, Thierry - Billard, Thierry
Membre(s) du jury : Carreno Garcia, Carmen - Blanchard, Nicolas

Établissement de soutenance : Strasbourg
Laboratoire : Laboratoire d'innovation moléculaire et applications (Strasbourg ; Mulhouse ; 2018-....)
École doctorale : École doctorale des Sciences chimiques (Strasbourg ; 1995-....)
 
Discipline : Chimie
Classification : Chimie, minéralogie, cristallographie

Mots-clés libres : Chimie du fluor, Groupes fluorés émergents, Sulfoxydes, Réaction de Pummerer
Mots-clés :
  • Chimie organique
  • Fluor
  • Sulfoxydes
Résumé : Une réaction de trifluorométhoxylation de type réaction de Pummerer a été développée pour pallier au manque de méthodes simples et stéréosélectives d’insertion du groupe trifluorométhyléther. Celle-ci permet la génération du trifluorométhanolate lors de l’activation d’un sulfoxyde par un arylsulfonate de trifluorométhyle. L’oxydation des thioéthers alors obtenus mène aux sulfoxydes α-trifluorométhoxylés correspondants. Plusieurs sulfoxydes ont ainsi été synthétisés dont un de manière énantiopure. La fonctionnalisation des sulfoxydes racémiques a ensuite été abordée et a mené à la mise au point d’une méthode permettant leur méthylation. Un sulfoxyde α-trifluorométhoxylé α-méthylé diastéréopur a ainsi été préparé. L’insertion de motifs plus complexes ainsi qu’une seconde fonctionnalisation et l’emploi de sulfoxydes α-trifluorométhoxylés énantiopurs pourrait mener par la suite à des composés de configuration contrôlée dont le motif OCF3 est porté par un carbone quaternaire. Parallèlement, une seconde méthode de trifluorométhoxylation a été développée suite au constat que la plupart des procédés actuels nécessitent l’emploi de réactifs dédiés souvent toxiques, onéreux ou peu pratiques. Cette méthode, ne faisant pas appel à de tels réactifs, repose sur la génération in situ de fluorophosgène à partir de triphosgène puis de l’anion trifluorométhanolate par réaction du fluorophosgene avec un ion fluorure. Plusieurs iodures d’alkyles ont ainsi pu être trifluorométhoxylés.
 
Type de contenu : Text
Format : PDF
 
Entrepôt d'origine : STAR : dépôt national des thèses électroniques françaises
Identifiant : 2021STRAF017
Type de ressource : Thèse